RideThe Wood – Audrey Fasquelle

RideThe Wood – Audrey Fasquelle

Cela fait déjà un petit moment que l’on connait et que l’on suit avec attention le travail d’Audrey. C’est donc fièrement que l’on vous propose de la découvrir à travers cet interview honnête et sans complexe :

SnowBoard Marqueterie Owl

SnowBoard Marquetry Owl

1. Salut Audrey, peux  tu te présenter ? Quel âge as tu (pas obligatoire bien sur ;)), d’où viens tu, ton boulot, ton parcours…

Salut! Et bien, j’ai 27 ans et je viens de Toulouse. Avec six ans de formations aux métiers du bois (CAPs et Diplôme des Métiers d’Art) entre le Lycée de l’Ameublement de Revel (31), le Lycée des Métiers d’Art d’Uzes (30) et un passage éclair à l’Ecole Boulle à Paris, j’ai travaillé quelques mois en finition chez un fabricant d’intérieurs de jets privés puis chez un fabricants de skis. Après avoir déménagé de nombreuses fois, j’ai posé mes valises dans le bassin Valentinois il y a plus d’un an, ainsi, depuis le mois d’octobre 2015, j’exerce la marqueterie à mon compte, en parallèle d’un emploi d’animatrice pour enfants

Audrey FASQUELLE - RideTheWood

Audrey FASQUELLE – RideTheWood

2. Qu’est ce qui t’as amené à travailler le bois ?

Depuis toute petite, je bricole. J’ai la chance d’avoir des parents qui savent faire beaucoup de choses par eux même et qui ont su partager leur savoir faire avec leurs enfants. Lorsque je passais mon bac, on m’a parlé de l’ébénisterie. Je suis donc allée me renseigner au lycée pro de Revel et ça a été un coup de cœur! Depuis ma formation, dès que j’ai l’opportunité de faire un atelier bois avec les enfants sur les centres de loisirs, je n’hésite pas, espérant réveiller une vocation chez quelques uns d’entre eux.

3. Tu as fait le choix d’utiliser notre matériel à savoir, la Thin Air Press. Pourquoi ce choix ?

C’est après avoir cherché «fabricants de skate» sur Internet que je suis tombée sur le site Roarockit. En fouinant sur la page Web, j’ai trouvé les presses sous vide, j’ai alors pris la décision d’acheter le grand modèle, qui s’adapte très bien pour mes snowboards. Le prix est attrayant aussi. Un coup d’aspirateur, la pompe manuelle, et le tour est joué! Je ne regrette pas du tout cet investissement.

SnowBoard Marqueterie Who Board

SnowBoard Marquetry Who Board

 

4. On a vu que tu avais créé RideTheWood. Racontes nous cette histoire ? Le début, les galères, les joies…

J’ai commencé à penser à Ride The Wood courant 2014. Lorsqu’on passe un Diplôme des Métiers d’Art, on nous apprend à sortir des sentiers battus, à innover. J’ai fait le rapprochement entre ma formation et une passion, et j’ai fait un test sur un snow (Who Board). Les retours positifs m’ont poussée à persévérer. Tout en continuant les prototypes pour les snow, j’en ai profité pour essayer des supports éclectiques (guitares, skates, radio vintage… Etc) Ride The Wood, ce n’est pas que du snow, c’est aussi d’autres supports tout aussi funs. Les joies que j’éprouve? Découvrir le produit fini après toutes les étapes de réalisation. Les galères, se soucier de trouver les bonnes techniques innovantes et bien sûr la partie administrative.

SnowBoard Marqueterie Bois Multi Essence.

SnowBoard Marquetry Wood Multi Essence.

 

5. Quand on regarde ton travail sur les snowboards, on devine que tu as passé un temps fou à leur conception. Peux-tu nous expliquer le travail que tu as fait?

Il y a d’abord la recherche de motifs. Sur les dernières planches, j’ai eu la chance d’avoir les dessins du graphiste GunndBoy. Il faut faire ce que l’on appelle un calque, qui servira à faire la mise en couleur, la légende, les ombrages si nécessaire… ensuite, découper chaque pièce sur papier pour les coller sur les feuilles de bois, puis de nouveau, découper les placages. En fonction du nombre de pièces, la découpe et l’assemblage peuvent prendre plus ou moins de temps (Pour le hibou, il y a pas loin de 150 pièces et une quinzaine d’heures de travail). Je déplaque ensuite le snow que je souhaite personnaliser et j’y colle la marqueterie avec la presse sous vide. Reste la finition qui prend pas mal de temps.

SnowBoard Marqueterie Racoon

SnowBoard Marquetry Racoon

6. Comment vois-tu l’avenir de RideTheWood ? Des nouveaux modèles, quelques projets?

Je souhaite pouvoir travailler avec des artisans de la glisse, tout comme avec des particuliers. Je voudrais aussi développer les différents styles de graphisme, et enfin, tester de nouveaux matériaux, ou confirmer l’utilisation de la paille sur snowboard qui n’a encore jamais été utilisée d’après mes recherches.

 

7. Le mot de la fin. Des remerciements ou des dédicaces ?

Je pense que oui, il y a pas mal de monde que je dois remercier, ma famille tout d’abord, qui m’a permis de découvrir l’artisanat du bois et mes professeurs qui me soutiennent toujours après toutes ces années. Je tiens aussi à remercier toutes les personnes qui me donnent une chance de faire ma place sur des événements et de faire connaître mon travail et enfin, l’atelier Phénix, mon premier partenariat fabricant/marqueteur.

 

On vous invite à jeter un coup d’œil, sur sa page facebook : RideTheWood

Page facebook : RoarockitSkateboardEurope

Profil : Roarockit Europe

Page internet : Roarockit.eu

Build Your Own Skateboard Workshop – Grafisch Lyceum, Rotterdam

Build Your Own Skateboard Workshop – Grafisch Lyceum, Rotterdam

A few months ago, Martijn Janssen contacted us with the intention of  starting up a profilepicture“Build Your Own Skateboard” workshop at the Grafisch Lyceum in Rotterdam, Holland. We were more than happy to get him sorted with what was needed and only a little while later we were over the moon, when the first photos of the boards being built in class and then the finished decks were put up on facebook. The result is amazing.

This being one of the first schools in Europe to have started up the program, after many years of successful workshops in Canada and the States, we asked if we could do an article to put forward the amazing work that has been put into this project and to find out how it went.

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My name is Martijn Janssen and I am currently teaching Media Design at Grafisch Lyceum Rotterdam. Before I started teaching I ran my own company in interactive media design and animation. I was also one of the founders of eyesupply.tv, a VJ collective now responsible for the visual shows of Armin van Buuren and Afrojack, among others. I stopped VJ-ing when my son Kik was born and I could not combine the work at school, late night shifts in the weekends and being a dad.

Ever since I could hold a hammer and some basic tools I made a lot of my own toys. And I never really stopped “Making Stuff”. In the 90’s I studied Industrial Design. In the year 2000 I decided to built a snowboard with a friend, a one of project. A lot of different smaller and bigger projects followed and than in 2013 I wanted to build a hollow wood surfboard. I searched a lot on the internet and at one point I came across someone, a surfboard builder, who had built a skateboard just for fun. This seemed much less complex than building a surfboard and I decided to give it a go. And I’m hooked, it also got me picking up skateboarding again (after almost 20 years!).

I hadn’t worked with the Roarockit materials before, but was very interested in them. And once the plan for organising the workshop at my school found approval, I knew this system would work best to get the students to understand the process of building your own board.

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The first board was a “mini” longboard for my son. The result was far better than I expected and in no time I made one for myself. The third board I did (“La Troisième”) was noticed by a friend of mine who asked me to build some more of “these gorgeous boards” and sell them at the Indie Kids Festival, a fair of independent brands in Amsterdam. I had one month to create the brand and about 15 (mini) skateboards. I teamed up with Henk de Bruin, fellow teacher and illustrator to make the first Superkik series.

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This was a succes, we sold 5 boards and received quite some custom orders in the months after that.

I decided to name the brand Superkik because I registered superkik.nl in the past. My son Kik is a big super hero fan.

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The boards had drawn the attention of students and colleagues and I started a few other collaborations. Some were even interested in designing and building their own boards. Than the opportunity came with the annual workshop week for our graduation students. Students can follow workshops and seminars of choice to gain some extra knowledge and skills in a fun way. So I submitted the idea of teaching 10 students to build their own board.

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I told my bosses that the students were about to build the ultimate canvas for their artwork: A skateboard they could actually ride! Since skateboarding is closely related to the creative industry, it was not hard to convince them to invest in the materials and tools for this workshop.

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Together with Niels de Bruin from Langplanck we put a program together. We did a short introduction of what to expect and started with shaping of the moulds. We helped out with the design and the students shaped the foam completely by hand. By the end of the morning we had to glue the boards together and put them in the presses. Than two weeks passed before we could get to part two of the workshop: designing and cutting the outline, finish the rails, top and bottom and drilling the holes. The finishing had to be done by hand again.

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This concluded the official workshop, we only had 2 x 4 hours. In the unofficial part 3 of the workshop we will help some of the students with applying their design to the board.

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Over all we can conclude that next time we need more time. We could have spent some more time on the design part. Also an extra session to finish the board with a design and coating is necessary.

Nevertheless the workshop was one big succes and there was a real buzz in the school. A lot of students asked where they could sign up for the next edition. I even had a prospective student asking me: “In what department do they teach you how to build a skateboard?”

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The next workshop will be with colleagues, we will keep you posted on the results!

We are looking into possibilities to run the workshop at other schools and are finetuning the program at the moment. Working with the maple and the TAP-bags was a breeze. I expect to do a lot more with both! The maple is very easy to work with and the results in quality and expression are simply amazing!

I’m more or less teaming up with Niels from Langplack to develop some longboards and we are going to experiment with other materials like bamboo, birch and carbon. Besides that I’m also working on new designs and techniques for the artwork. And finally, in the next few weeks we expect to shoot some footage for a promo for Superkik and Langplanck (in 4k!!).

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Roarockit Skateboard Europe logo

Roarockit Skateboard Europe

Simon Cuingnet de 114 Boards!

Nous somme fiers de mettre en avant les projets et créations que des personnes mettent en place autour de nous, en utilisant le système Thin Air Press de Roarockit.

Aujourd’hui, nous avons eu le plaisir de poser quelques questions à Simon Cuingnet, un passionné des sports de glisses de toutes sortes et co-fondateur d’un formidable projet : 114 Boards. Voilà ce qu’il nous a dit.

 

Simon de 114 Boards

Simon de 114 Boards

 

Salut Simon, peux tu nous faire une petite présentation de toi : tu as quel age, tu viens d’où…etc. ?

Salut je m’appelle Simon, je suis l’un des co-fondateurs du 114 Boards, j’ai 31 ans et j’habite à Lille. J’ai toujours été passionné par les sports de glisse, fan de skate, bmx, surf, tout ce qui est praticable en générale que ce soit sur le béton ou sur l’eau.

 

Donc les sports extrêmes en générales ?

Oui et principalement ceux ne nécessitant pas l’utilisation de moteurs.

 

Es-tu shaper à la base ?

Pas du tout, je travail dans le sport. Je suis entraîneur de football américain. En faite, j’ai toujours été passionné par comment les boards pouvaient être fabriquées, pourquoi il y a un concave, un nose, un tail…etc. C’est après avoir touché une planche de surf que je me suis lancé dans l’expérience de faire tout moi même.

 

C’est à partir de là que tu as commencé à utiliser le système Roarockit ?

J’avais entendu parler de Roarockit Canada. Le seul problème c’était les frais à l’importation. Je ne pouvait pas vraiment me le permettre. Avec mon associé/pote Greg on a commencé a « bidouiller » plusieurs systèmes pour faire des skates et des longboards, qui n’ont jamais vraiment fonctionné. On cherchait à fabriquer quelque chose nous même que l’on pouvait rider par la suite.

 

Tu es donc le co-fondateur de 114 Boards, dis nous en un peu plus ?

114 c’est l’histoire d’une coloc sur Lille, où j’ai rencontré mes meilleurs amis avec qui je partage tous les meilleurs moments de ma vie. Je me suis approprié ce chiffre du fait des grosses soirées mémorables qu’on a passé dans cette coloc. On avait plus ou moins pensé à monter une marque de t-shirts, mais qui est tombé à l’eau et de là en est venu l’idée du recyclage de decks.

J’ai rencontré mon associé Greg (Grégoire Fischer), grâce au football américain, qui était passionné autant que moi par les sports de glisse, quels qu’ils soient.

En tout cas le projet final c’est de recycler des decks, essayer d’en faire des nouvelles, du matériel qui plaît.

Deck à recycler

Deck à recycler

Tu récupères donc des boards usagés, que tu modifies et re-shape ?

Exactement, on essaie de redonner une seconde vie aux boards, que ce soit pour l’eau ou le béton.

On essaie de récupérer des boards en demandant au gens, s’ils ont des planches qui traînent dans leurs garages, qu’elles soient cassés ou pas. On fait également d’autres choses, comme des bijoux, des décapsuleurs ,des dessous de verres, des planches à découper etc… .

L’intérêt c’est de pouvoir proposer des boards recyclés mais qui paraissent comme étant neuves.

Si on s’aperçoit que la board est réutilisable, si le nose ou le tail est usés, on va essayer de la reshaper, leur donner une forme originale.
La plupart du temps, on leurs remets des touches de colle, de résine en fonction de la gravité des blessures. On les remets toutes sous-vide avec le système Roarockit pour être sûr que tout sois bien collé et ensuite on reshape tout à la main, on rabote, en essayant de leurs donner une nouvelle forme. Puis on ajoute un logo, graver ou peint . On collabore principalement avec trois artistes, mais on est également ouvert à toutes propositions. Dès fois, on a même pas envie de rouler avec les planches tellement elles sont classes.

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Et vous en faites autres choses que des planches ?

Oui, tout à fait nous faisons des bagues (en taille 20, 18 et 14) et des décapsuleurs entre autres avec la récup’ de boards. On a un autre projet en cours, mais on n’est pas les seuls sur ce créneau, c’est de faire des objets utilisables tout les jours dans la maison mais fait en skates recyclés.

Bagues en skates recyclés

Bagues en skates recyclés

La base de 114 c’est vraiment de remettre sur les routes ces skates en fin de vie ou d’en faire des objets que l’on peux utiliser dans la vie de tous les jours. C’est toujours une planche qui a une histoire, quelqu’un la ridé avant, peu importe le niveau et on veut juste redonner une vie à ces boards.

Tu skates un peu toi même du coup ?

J’ai skaté pendant plusieurs années puis malheureusement je me suis vite rendu compte que mon niveau n ‘était pas terrible.

 

En street ou en Longboard?

Au début j’ai commencé par du street, après j’avoue que j’ai malheureusement pas persévéré. J’ai toujours kiffé en fait !!! Juste le fait de pouvoir me déplacer avec une planche , sans forcément avoir besoin de me faire chier avec le metro, les voitures etc c’est le top Puis, au fur et mesure du temps je me suis mis un peu plus mis au longboard, dancing, cruising, freeride.

 

Donc à la cool quoi ?

-Ouai à la cool (rires)

 

Tu es donc prof de football américain, tu es BE ?

J’ai un diplôme d’état oui.

 

Roarockit, tu en avais entendu parler comment ?

Quand je voulais shaper mes propres boards, avant de me mettre à recycler des planches, j’ai cherché sur le net, des forums, j’ai regardé les divers systèmes de pressage. Quand tu tapes « presse fait maison » il n’y a pas 20 mille solutions, sois ce sont des presses à 5000€ pièce ou rien du tout. C’est donc en fouillant sur le net que je suis tomber sur une vidéo de comment faire sa board sois même, sur le blog du ministry of wood, et ça a été le « coup de foudre » (rires).

Thin Air Press de Roarockit

Thin Air Press de Roarockit

Pour récupérer tes boards usagers, tu te débrouilles comment ?

Je t’avoue c’est un peu galère. Au début c’est cool, tu vas proposer au gens de récupérer leurs boards cassés, et puis tu te retrouves vite embêté car les gens les vendent quand même souvent à plus ou moins 50€. Au final j’accepte mais je me retrouve vite bloqué parce que sa fait beaucoup de frais. Donc je demande aux équipes que je coach, aux gars que je connais, quand je croise un rider dans la rue, je discute avec lui, je lui pose la question, je lui explique le projet, et je vois s’il n’a pas un extra.

Au rider je leur demande de penser à moi si ils pètent leur planches. Il y a justement un bon groupe dans le Nord Pas de Calais qui devrait nous filer un petit stock.

-D’ailleurs n’hésitez pas si vous souhaitez vous débarrasser de vos vieilles boards peut importe l’année, l’état, même si c’est une planche chinoise, n’hésitez pas à nous contacter, envoyer un mail.

 

Comment tu vois l’évolution de 114 boards par la suite ?

Je ne vends rien pour l’instant ( mais très bientôt disponible !! l ‘ensemble de nos produits seront disponible à l’achat à partir du 21 avril 2014), mais le but serait de récupérer des cruisers, des skates et les revendre à des prix cassés. Quand je vois les petits qui veulent se mettre au skate, c’est vite 80€ une planche. Il y a moins cher bien-sur mais si tu veux commencer avec du bon matos, c’est le minimum.

Nous on propose aux gens qui veulent s’amuser et cruiser avec un planchon de qualité mais sans se ruiner !

 

114 boards c’est donc pas pour faire du fric ?

Non pas du tout, on pourrait peut-être monter une asso en rapport avec le recyclage du bois. Pour l’instant ça a moins de six mois, ça viens de se lancer. L’avenir nous ouvre ses bras on verra bien !

 

Mots de la fin, des remerciements ?

Je voudrais remercier tous les gens qui ont pû me connaître au 114 , dans la coloc à Lille. Ils se reconnaîtront, il y en a beaucoup à citer. Je voudrais remercier, Greg (mon associé) Damien, Romain, Jo et Alex, sans qui rien n’aurait été possible. Ma petite famille, ma petite femme Sarah et Snoth.

 

Et n’hésitez pas à me contacter si vous avez des boards.

114 Board Facebook : https://www.facebook.com/114boards?fref=ts

Simon Cuingnet : https://www.facebook.com/simon.cuingnet?fref=ts

 

 

Vous voulez rencontrer 114 boards : Ils exposent à la nuit de l’archi en Avril, à Tournai en Belgique.

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